Réflexion sur l'humanité !

Quelques fois, elle s'écrit avec un "h" majuscule, le plus souvent avec une minuscule.
On utilise ce mot pour de grandes causes (justes ou fausses, guerrières ou humanitaires), pour désigner l'ensemble des personnes, des êtres humains, pour parler d'une façon d'être, d'un sentiment noble au demeurant.

Mais alors pourquoi les grands de ce monde galvaudent-ils systématiquement ce mot ?

Pourquoi les gens deviennent-ils de plus en plus personnels, égocentriques ?

Est ce que cela est si dur de faire preuve d'un petit geste vis à vis de son voisin, d'une personne inconnue rencontrée dans la rue ? Qui dit encore bonjour au passant croisé un instant ?

Qui regarde avec un sourire chaleureux le "sans abri", l'étranger qui déambule sans but dans toutes nos villes de quelque importance ?

Qui se soucie encore que certains d'entre  nous (et plus qu'on ne pourrait le penser au demeurant) vont se retrouver seul au soir de Noël et à la Saint Sylvestre ?

En cette période de fêtes, synonymes de joie, de réconfort, de resserrement des liens, ayez, s'il vous plaît, une pensée pour tous ces gens que vous allez croiser dans votre cage d'escalier, dans votre quartier, dans votre village, dans vos commerces, dans vos déplacements.

Et sans avoir à en appeler au "miracle de Noël", constatez simplement  le sourire et l'éclat des yeux que vous aurez en retour.
Et ainsi vous saurez ce que signifie réellement faire preuve d'humanité !

J'ai véçu des moments durs,
Bien des moments en pleurant,
Mais, dans le fond de mon coeur pur,
Je me dis que j'ai eu des moments tripants.

J'ai eu bien des coups,
Mais aussi des temps doux
Qui m'ont fait oublier
Les larmes que j'ai versées.

Je suis comme le monde entier,
j'ai besoin de beaucoup d'amour,
Surtout et plus encore d'en donner,
Et cela restera toujours.

Mais pourquoi faut-il chercher
Notre inatteignable bonheur,
Qui nous gruge au fond du coeur,
Qui, pour moi, est la liberté?

L´arrivée à la limite des parcours
Les mots n´ont plus de valeurs
Devants le malheur vécu par un cœur

Etre bon, gentil ou humain
A quoi sert, si demain est à la main des hypocrites?

A quoi sert d´aimer si l´Amour n´est un sentiment chez certains
Enfin la plus part parce qu´ils maitrisent tous le même baratin

A quoi sert de donner sa main, si on la tire et on te pousse par terre comme l´os jeté aux chiens

A quoi sert d´espérer, si tous roulent de même
Un jour toi, l´autre ton copain et comme ca que je passe d´un à l´autre jusqu´à l´enterrement que je ne sais ou son lieu
Dans un fossé ou un jardin?

Et qui pleura sur ma tombe?
Un oiseau? ou un arbre à qui je parle en silence?

"Être bon gentil ou humain"
sert à éclairer ton chemin

bien sur que ça sert d'aimer
au moins pour répandre l'espoir et le semer

l'espoir est là pour recréer
la paix ici bas et la faire régner

ne regrettes jamais d'avoir été généreux, dans le geste et dans l'âme c'est la plus belle richesse et même si on ne s'en rends pas compte tout le temps, c'est aussi l'un des meilleurs boucliers!

Nous ne devons jamais rougir de nos larmes,

Celles qui coulent au nom de l’amour.

Elles sont les pétales d’un cœur en flamme,

D’une âme qui cri au secours.



Dans toutes les larmes s’attarde un espoir,

Un espoir qui nourrit une âme et un corps.

On dit que l’espoir fait vivre, faut-il le croire ?

Mais si l’espoir tarde, il devient la mort.



Les plus beaux yeux sont ceux pleins de larmes,

Un cœur touché par les flèches de l’amour.

Entièrement éprit par cette femme,

A tous les critiques il devient sourd.



La vie est une fleure, l’amour et son miel,

La femme est son âme, les larmes sont la rosée.

Cet être rieur qui me charme, vient du ciel,

Cet ange en pleurant est plein de beauté.

A quoi bon vivre si je suis l’ombre,

N’être entouré que de la nuit.

A quoi bon aimer sous un ciel sombre,

Si cet ange s’enfuit.



Fleure de lys, tu entoures mes pensées,

Te le dire est mon seul souci,

Il suffit que tu t’en ailles,

Pour que je déprime aussi.



Toi être de lumière, si tu pars mes yeux se fanent,

Loin de moi, tu emportes mon cœur,

Et ma vie perdra tout son sens,

Si tu pars mon âme sœur.



Si tu pars que vais-je devenir ?

Cela sera l’enfer, une descente vers l’abîme.

Sans ton visage, ta voix, il n’y aura que les souvenirs,

Alors, sa sera un poème sans la rime.



Le courage me manque pour te le dire,

Pourtant, mon amour pour toi ne cesse de grandir.

Dieu seul m’est témoin,

Que je n’aimerai une autre point.

Sans toi, mes yeux sont aveugles,

L’univers ne sera plus qu’un désert.

J’étais seul éclairé par cette petite flamme,

Mais pour moi elle était grande, et j’y étais fière.